Ma drogue…
J’aime le soir, j’aime…
Quand tout se tait,
Quand ton souvenir
Quand ta voix divine efface
Toute mon existence et
Provoque cette amnésie…
J’oublie tout ce qui est
Et encombre mes pensées
Ta voix seule m’est familière.
Peu importe si ce n’est pas pour moi, et si…
Ce n’est que pour quelques secondes
Mais là, j’apprécie, ce temps si précieux
Que ton être cruel me dédit
Tel un remède qui n’agit
Que pour que sa victime agonisante
Lui soit éternellement dépendante.
…la passion.